Ville la plus peuplée de France et considérée comme la 3ème aire urbaine européenne
Capitale économique et commerciale du pays et première place boursière et financière de la France
Réseau de transports dense et complexe (bus, métro, tramway, RER, trains de ligne, velib’, autolib, axes routiers), 2ème ville d’Europe en trafic aérien
Le tourisme de loisirs est le plus gros secteur économique de la ville de Paris, une des capitales les plus visitées au monde
1 français sur 5 habite en Île-de-France. Paris concentre une bonne partie de l’activité économique du pays. En effet, 30 % du PIB français est réalisé dans la région. L’attractivité de la zone n’est plus à prouver, mais cependant, la région Île-de-France est aussi la région française où le solde migratoire est le plus négatif (source INSEE). Chaque année les Franciliens qui partent s’installer ailleurs sont plus nombreux que ceux qui viennent y vivre. Compensée par un solde des naissances positif, la population croît toujours, mais c’est un des plus faibles taux que l’on peut constater en France.
La qualité de vie y est probablement pour beaucoup avec des temps de transports toujours plus longs et un coût de la vie très largement supérieur à la province.
Depuis 2020, Anne Hidalgo est la maire de la ville. Elle appartient au parti socialiste.
Pour preuve, les prix de l’immobilier à Paris au m² y sont plus de deux fois supérieurs à la plupart des moyennes des grandes villes françaises. La barre des 10 000 € par mètre carré en moyenne a de nouveau été franchie dans Paris intra-muros. Le problème sous-jacent à ces prix immobiliers très élevés est que le prix au m² à la location n’est proportionnellement pas aussi élevé qu’en province.
Sachant que les prix de l’immobilier dépendent directement de l’offre et de la demande et par conséquent du nombre de demandeurs, il est légitime de penser que les prix vont cesser d’augmenter plus vite qu’ailleurs.
En effet, la région Île-de-France connaît un solde migratoire déficitaire et la situation se dégrade passant de -0,2 % à -0,4 %. Ce mouvement ne constitue pas un simple effet de mode, mais plus une tendance de fond pour des Français en quête d’une qualité de vie meilleure. On trouve une meilleure qualité de vie plus facilement en province et même dans les grandes villes…
Est-il donc pertinent de faire de l’investissement locatif à Paris ? Oui parce que cette ville conservera toujours sa place indéniable, celle d’être le cœur de l’économie française, ainsi il est peu probable que les prix immobiliers s’effondrent comme dans d’autres villes françaises plus fragiles. Néanmoins, à l’heure d’investir dans l’immobilier, ne vaut-il pas mieux faire le pari d’une grande ville de province pour en tirer des revenus complémentaires plus élevés et surtout un potentiel de plus-value plus important ?
Nantes, Rennes, Bordeaux, Toulouse, Lyon, Lille, Montpellier et même Marseille qui connaissent une profonde métamorphose et où l’on peut trouver des biens à moins de 2 500 € du mètre constituent une réelle alternative en combinant fort rendement locatif et perspectives de plus-value intéressantes. Retrouvez ces différentes opportunités à travers le crowdfunding immobilier développé par Homunity.
La ville totalise 2 220 445 habitants, dont la moyenne d’âge est de 38 ans. Le revenu annuel médian par ménage est de 34 025 €, soit près de 11 500 € de plus que la moyenne nationale qui se situe à 22 500 €. Le taux de chômage est relativement bas puisqu’il est de 12 %.
Il y a 1 362 182 logements répartis de la manière suivante: 84,3 % de résidences principales, 7,9 % de résidences secondaires, 7,9 % de logements vacants et 15,1 % de logements sociaux. Actuellement l’indicateur de tension immobilière est de 16 %. 61,6 % des habitants sont locataires de leur résidence principale et 33,3 % en sont propriétaires, rendant ainsi la ville relativement propice à l’investissement locatif, notamment pour les petites surfaces très prisées par les étudiants. Le type de biens immobiliers que l’on retrouve le plus est un logement de deux pièces. Cela représente 31,9 % de l’offre immobilière de la ville. Les logements de cinq pièces ou plus sont ceux que l’on retrouve le moins souvent puisqu’ils ne représentent que 9,1 % du marché immobilier.
Biennale de la danse, Biennale d’Art contemporain, Nuits sonores, Nuits de Fourvière, Fête des Lumières… Les événements culturels de grande ampleur rythment chaque année la vie lyonnaise et attirent des millions de visiteurs de toute l’Europe.
Ville d’art et d’histoire, Lyon est classée au patrimoine de l’UNESCO depuis 1998. Édifiée au cours de 2000 ans d’histoire, Lyon possède une architecture qui témoigne des nombreuses époques qu’elle a traversées. Ses quartiers historiques comme Fourvière, le Vieux-Lyon ou encore la Croix-Rousse attirent des millions de touristes. Ils permettent aussi d’ouvrir des opportunités pour défiscaliser grâce à l’immobilier ancien.
Ville de gastronomie, elle rassemble de nombreux restaurants dont les fameux bouchons lyonnais révélés par Paul Bocuse.
Le dynamisme économique du lieu d’investissement est un point important à prendre en compte pour tout investisseur immobilier. En effet, s’interroger sur le marché de l’emploi, le développement du tissu économique est primordial car un investissement rentable dans la durée suppose un locataire qui paye son loyer!
Et là encore Lyon est en excellente position. 2e région après l’Ile de France en termes de PIB, centre de décision majeur, Lyon possède de nombreuses entreprises dans tous les secteurs notamment dans les nouvelles technologies mais aussi dans la pharmacie ou encore la chimie. Plus de 29 000 entreprises ont été créées en 2019 selon l’INSEE ce qui fait de la ville un territoire privilégié pour l’entreprenariat. Selon le baromètre EY, Lyon serait la 2e métropole française la plus attractive après Paris pour les investisseurs internationaux. Côté démographie, la population lyonnaise a connu ces 5 dernières années une croissance moyenne de 1,1% par an selon l’INSEE. Des atouts gages de pérennité pour qui veut investir dans l’immobilier locatif à Lyon.
Enfin, avec 2,6% en moyenne de création d’emploi par an et un taux de chômage en baisse à 8,2% (source, CCI Lyon Métropole), Lyon bénéficie d’un bassin d’emploi dynamique. Le taux d’emploi des 25-54 ans est d’ailleurs de 87,9% (source INSEE) ce qui représente 75% de la population globale. Avec 64% de locataires, on peut imaginer qu’un appartement trouvera facilement un locataire.
Le prix moyen par mètre carré, pour un appartement, est de 10 191 €. Ce prix peut varier entre une fourchette de prix basse estimée à 6 941 € et une fourchette de prix haute estimée à 15 759 €. Pour une maison, il faudra compter, en moyenne, 10 867 €. Ce prix oscille entre 6 598 € et 22 795 €.
Située dans le 8e arrondissement, l’avenue des Champs-Élysées a grandement contribué à rendre ce quartier célèbre, notamment en devenant un endroit touristique incontournable. Il fait partie des quartiers les plus chers de la capitale.
Il y a 3 451 logements répartis de la manière suivante: 48,7 % de résidences principales, 34,9 % de résidences secondaires, 16,4 % de logements vacants et 0,1 % de logements sociaux. 57,9 % des habitants sont locataires de leur résidence principale et 23,9 % en sont propriétaires.
Il totalise 3 453 habitants, dont la moyenne d’âge est de 42 ans. Le revenu médian annuel par ménage est très largement supérieur à celui de la moyenne nationale puisqu’il est de 38 372 €. Le taux de chômage est très faible, puisqu’il est de 7,5 %.
Le prix moyen par mètre carré, pour un appartement, est de 15 428 €. Ce prix oscille entre 10 203 € et 28 885 €. Pour une maison, il faudra compter, en moyenne, 13 338 € par mètre carré. Ce prix varie entre 9 348 € et 28 601 €.
Situé dans le 11e arrondissement, ce quartier totalise 66 654 habitants, dont la moyenne d’âge est de 37 ans. Le revenu médian annuel par ménage est de 28 259 €, soit près de 6 000 € de plus que la moyenne nationale. Le taux de chômage est un peu plus important que celui que l’on peut trouver dans d’autres quartiers, puisqu’il est de 15,4 %.
Le prix moyen par mètre carré, pour un appartement, est de 9 469 €. Ce prix peut varier entre 6 674 € à 12 185 €. Pour une maison, il faut compter, en moyenne, 10 049 € par mètre carré. Ce prix oscille entre 7 426 € et 16 159 €.
Il y a 35 454 logements répartis de la manière suivante: 92,1 % de résidences principales, 2,4 % de résidences secondaires, 5,5 % de logements vacants et 38,4 % de logements sociaux. 76,2 % des habitants sont locataires de leur résidence principale et 20,9 % en sont locataires. Ce quartier est donc très propice à l’investissement locatif.